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Par Patoche le 5 Juillet 2009 à 18:33
À chaque nuit que Dieu apporte,
quand je me repose au lit,
une petite prière trotte
sans cesse dans mon esprit.
Dieu... bénis ma mère, mon père
et tous mes enfants aussi.
Bénis mon épouse, leur mère...
Et protège-les aussi.
Mon Dieu, je veux demander
sans vouloir te faire fâcher...
Eh bien, tu sais, mon ordi...
veux-tu le bénir aussi?
Je sais qu'il n'est pas banal
de bénir un bout de métal,
mais laisse-moi t'expliquer...
puisses-tu alors décider.
Tu vois, cette petite boîte
contient plus qu'il n'y paraît...
C'est comme une grande foire
Où mes amis m'attendraient.
Il y en a, c'est certain
auxquels j'ai serré la main,
D'autres restent sans visage...
dans mon esprit, une image.
Tous les amis apprécient
tous ces mots que l'on se dit,
et c'est par l'ordinateur
que l'on va où ils demeurent.
Je les connais par la foi
qui te fis connaître, Toi.
Mais une des joies de la vie,
C'est l'amitié qui grandit.
Dieu, à travers tous tes rôles,
prends une minute par jour
pour bénir ce bout de tôle...
qui contient autant d'amour.
(Auteur inconnu)
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Par Patoche le 5 Juillet 2009 à 18:30
Quand je ferme les yeux,Je te vois dans mon esprit.Je te dessine, te sculpte et te devine.Face à un écran froid,Je perçois sans peine ta chaleur.Un courant magnétique s'installe entre nouset joint tes doigts aux miensPar la magie du clavier.Sans retenu nous nous livrons:Peines, joies, amour et même, sensations.Nous nous racontons sans gêneComme nous ne le ferions jamais avec nos proches.Passant du quotidien aux rêves d'avenir.De la monotonie à l'allégresse de se parler.Rien ne peut entraver nos paroles.Personne ne peut effacer cet enchantement.Celui qui n'a jamais navigué dans le cyber espaceNe peut comprendre et même s'imaginerÀ quel point des liens solides peuvent se former,Des liens d'amitié immuablesQui ne cessent de grandir à chaque octet utilisé.Par la simple pensée nous avons la forceDe métamorphoser le virtuel en réel.De deviner des pleurs, des rires, des souriresEt de ressentir des joies, des baisers, des caresses.Lorsque le moment vient de nous quitterC'est avec tristesse que l'écran s'éteint.Mais avec combien de soupirs et de tendresseNous nous sommes permis pendant quelques heuresD'aimer un corps par son esprit.~auteur inconnu~
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Par Patoche le 5 Juillet 2009 à 18:26
Je ne veux plus me nier,
nier mes sentiments,
mes besoins, mes attentes.Je veux être respectée,écoutée, entendue.J'ai le droit de respirer,de me dire: j'ai le droit de dénoncer,de penser, de crier; j'ai le droit d'exister.Je veux vivre debout,être en paix avec moi-même.Je veux grandir, changer, m'aimer.Je veux rêver, rire, m'épanouir.J'ai besoin d'air;j'ai besoin de m'écouter.J'ai besoin de décider pour moi,avec moi en fonction de mes besoins à moi,de ce que je veux faire de ma vie.J'en ai marre de vivre en fonctions des autres,pour être aimée.J'en ai marre de faire des courbettes,pour acheter la paix ou ne pas être seule.Je choisis de VIVRE; de vivre MA VIE.Je choisis de vivre mes sentiments,mes émotions, mes rêves, mes espoirs.Je veux me vivre jusqu'au bout,telle que je suis.Je me réserve le droit d'essayer,de me tromper, de recommencer,d'essayer encore, et de réussir...Pendant la transition: j'accepte ma souffrance,ma déception.J'accepte mon insécurité, mon désespoir.J'accepte ma colère contre les autres;on ne m'avait rien promis.J'accepte ma colère contre moi,de m'être si longtemps niée et oubliée.Je suis en sevrage car je sais qu'avec le tempsces sentiments vont s'atténuer et disparaître;remplacés par le pardon.Je sais qu'avec le temps mon coeur va guérird'avoir mal aimé...Et peut-être qu'avec le temps,j'accepterai d'oser à nouveau,tenter l'expérience d'aimer et d'être aimée...(Auteur inconnu)
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Par Patoche le 5 Juillet 2009 à 17:04
Un enfant demande à son père :
- Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?
Alors le père demande a son fils de le suivre ;
ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne
et le fils suivant à pied.
Et les gens du village de dire :
- Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d'aller à pied !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.
Le lendemain ils sortent de nouveau, le père ayant installé
son fils sur l'âne et lui marchant à côté.
Les gens du village dirent alors :
- Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et
le laisse aller à pied !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
Le jour suivant ils s'installent tous les deux sur l'âne avant de
quitter la maison. Les villageois commentèrent en disant :
- Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs
affaires, l'âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du
village y trouvèrent encore à redire :
- Voilà qu'ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant !
C'est le monde à l'envers !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
Arrivés à la maison, le père dit à son fils :
- Tu me demandais l'autre jour le secret du bonheur :
" Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu'un pour
y trouver à redire. Fais ce qui te plaît et tu seras heureux "
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